mercredi 29 février 2012

La Compagnie des Glaces - G.J. Arnaud

Tomes 1 et 2
Science Fiction
Lorsque j'ai eu l'occasion de lire quelques romans de ce monument (au moins par la taille) de la Science Fiction française je n'ai pas hésité longtemps. Je ne cache pas que j'avais cependant un véritable a priori vis à vis de cette saga. D'abord devant le gigantisme de l'œuvre. Près d'une centaine de roman et tous écrits par le même auteur. J'avoue avoir du mal à concevoir que quantité et qualité puissent faire bon ménage en littérature. Ensuite à cause de l'éditeur. Fleuve Noir produisant pour moi essentiellement des « romans de gare ». Même s'il existe sans doute des perles au sein de la production, j'avais tendance à me montrer très dubitatif.
Lorsque j'appris, de surcroît, que l'auteur avait préalablement à cette série fleuve de Science Fiction commis d'autre séries assez conséquentes aussi dans les genres policier ou espionnage, notamment, un début de panique commença à m'envahir. Mais n'écoutant que mon courage, j'entamai ma lecture.
Le cadre de la Compagnie des Glaces est une Terre dont le climat à été rendu extrêmement rigoureux à la suite de l'explosion de la lune et de la présence de la couche de débris qui a entouré notre planète. Les températures sont glaciales et les humains ne survivent que sous des dômes de protection. Les déplacements ne sont plus assurés que par des trains qui circulent sur des centaines de milliers de kilomètres de rails. Les compagnies ferroviaires sont devenues à ce point importantes que ce sont elles qui dirigent en lieu et place des politiques et en imposant des lois dictatoriales.
En marge de cette société qui vit sous la protection des dômes, il existe des tribus d'hommes (de créatures disent certains), totalement insensibles aux conditions climatiques extrêmes qui sévissent. Qui sont-ils, d'où viennent-ils, personne ne le sait. C'est dans ce contexte que nous suivons les aventures de Lien Rag (quel nom !), glaciologue, qui va bientôt faire la connaissance de la résistance.
Je ne cache pas que le premier tome m'a plutôt agréablement surpris. Le style n'est certes pas d'une qualité littéraire exceptionnelle mais il est formé dans un français correct et se laisse lire facilement. Pas de place ici pour de longues descriptions, la priorité est plutôt donnée à l'action. Le rythme est rapide et on n'a guère le temps de s'ennuyer. De plus, l'auteur aborde rapidement des thèmes comme l'écologie, les dictatures, la religion, etc. de façon assez critique et pertinente. L'ensemble du roman fourmille d'idées.
Non, ce qui coince un peu, et plus particulièrement dans le second tome, c'est le manque d'empathie que l'on ressent vis à vis du personnage principal. La faute ici précisément au style qui ne nous permet pas d' approfondir la psychologie des personnages. On sait ce qu'ils font, on sait moins ce qu'ils pensent.
Alors j'avoue traîner un peu avant d'attaquer le troisième tome mais c'est aussi parce que j'ai beaucoup, beaucoup d'autres livres à lire.
Au final une série assez sympathique et qui offre au lecteur qui accroche bien à l'histoire la perspective de nombreuses heures de lectures.

dimanche 12 février 2012

Impressions de lecture n° 2

Trafic d'Or sous les T'ang - Robert Van Gulik
Juge Ti 01
Policier - Historique
Chine 663. À la suite de la mort du magistrat précédent, TI Jen-Tsie est nommé juge du petit district de Peng-lai.Accompagné de HONG Liang, son vieux conseiller, il rencontre en chemin deux aventuriers, MA Jong et TSIAO Taï qui vont devenir ses redoutables lieutenants. Arrivé sur place, il aura à résoudre trois affaires. La mort de son prédécesseur bien sûr mais également celle de l'enlèvement d'un femme et de la disparition du premier commis du tribunal.
Avec sa jeunesse, son intelligence, son courage, son humanité, le juge TI est un personnage plutôt attachant. Son serviteur et ses deux lieutenants forment un trio assez savoureux. Ajoutez à cela un dépaysement à la fois culturel et temporel et vous obtenez un cocktail parfaitement réussi et qui devrait vous faire passer un très bon moment.
Le fait que le juge mène de front plusieurs enquêtes (comme cela arrive d'ailleurs sans doute fréquemment dans la réalité) donne au récit beaucoup de rythme. Cela nous permet de croiser la route de plusieurs personnages de milieu et d'éducation variés. Nous sommes ainsi invités à découvrir de nombreux et différents aspects de la vie d'une province de la Chine de l'époque.
Une série d'une lecture extrêmement agréable.

La Patrouille du Temps 1 - Poul Anderson
Science Fiction
S'il est une série en Science Fiction à la réputation flatteuse, c'est bien celle-ci. Il ne m'en fallait pas plus, quand l'occasion de la lire s'est présentée, de me ruer dessus.
Manse Everard est un ex-officier de l'armée américaine. Alors qu'il est à la recherche d'un emploi, il reçoit une offre très curieuse. On lui propose en effet de faire partie de la Patrouille du Temps, une brigade chargée essentiellement de veiller à ce que personne ne soit tenté de modifier le cours de l'histoire suite à la découverte du voyage dans le temps. Nous allons donc suivre les aventures de Manse Everard à travers plusieurs périodes de l'histoire.
Autant le dire, cette série est chargée de handicaps, au moins à mes yeux. Déjà, je ne suis pas très fan des voyages dans le temps. L'effort qui m'est demandé de suspension d'incrédulité est considérable. Les fameux paradoxes temporels qui plaisent tant aux fans du genre me laissent perplexe. Mauvaise pioche. Ensuite je n'aime pas trop les nouvelles. De nouveau mauvaise pioche.
Mais au-delà de ces inconvénients somme toute surmontables, j'ai été surtout rebuté par le caractère vieillot du récit. Bon sang ce que cela a donc mal vieilli du moins à mon humble avis. De plus, je n'ai pas trouvé les personnages particulièrement attachants.
Cela n'aura pas été une expérience inoubliable mais je tempérerai mon propos en répétant que je ne suis pas du tout dans la cible de ce genre d'ouvrage. J'invite tous ceux qui souhaitent étoffer leurs connaissances des grands classiques de tenter l'expérience dans la mesure où la lecture de ce recueil n'est pas une torture tout de même. Mais je n'offre, on l'aura compris, aucune garantie que vous soyez enthousiasmé.

Le Sourire Noir - Serge Brussolo
Thriller
Mother Lode Lake, une toute nouvelle station de vacances. Un groupe de vacanciers teste un nouveau produit de régime à l'efficacité incroyable. En à peine quelques jours tous ont déjà perdu plusieurs kilos sans se priver de manger. L'astuce ? La poudre miracle limite l'absorption par l'organisme à 400 calories quel que soit la quantité d'aliments ingérée. Malheureusement, la cure a des effets secondaires dévastateurs au niveau psychique et les curistes finissent par adopter des comportements suicidaires à leur insu.Comportements qui vont les conduire à des accidents mortels.
C'est dans ce contexte que David Sarella, écrivain à succès, devient professeur de littérature de la station. Il va vite découvrir que la drogue cache un combat sans merci entre un psychopathe, la maffia et le F.B.I. Il va alors être impliqué malgré lui de la plus horrible des manières.
J'avais déjà pu apprécier le talent de Brussolo et le moins qu'on puisse dire est que j'avais réservé à ma première lecture un accueil plutôt mitigé. Tout en supputant d'ailleurs que l'auteur était sans doute capable de faire beaucoup mieux. Et j'ai pu constaté que je ne m'étais pas trompé. Ce Sourire Noir est un excellent thriller. Le personnage principal est attachant et complexe à souhait. Le récit est déjanté juste comme il faut et nous entraîne dans une course contre la montre haletante.
J'ai lu quelque part que Grangé était le Stephen King français. J'ai tendance à penser que, s'il existe un Stephen King français, c'est plutôt Brussolo. Mais cela n'engage que moi. Il a de plus un avantage sur son illustre modèle, c'est la longueur raisonnable de ses romans.
Le Sourire Noir est un excellent divertissement qui vous fera passer, il me semble, un bon moment.

Les Piliers de la Terre - Ken Follett
Historique
Pour faire simple, le roman parle de la construction, sur de nombreuses années, d'une cathédrale dans l'Angleterre du 12ème siècle. L'intrigue étant étoffée par les relations conflictuelles qui opposent les différents protagonistes qui vont du simple conflit d'intérêt à la haine farouche.
Avant d'entamer la lecture de ces Piliers de la Terre, je ne connaissais rien ni de l'œuvre ni de son auteur. Tout juste avais-je pu lire peu de temps auparavant une simple allusion laissant entendre que le roman avait tendance à donner dans les bisounours. Je savais confusément qu'il s'agissait d'un best-seller mais rien de plus.
Alors certes, les gentils et les méchants sont clairement identifiés. Les gentils sont très gentils et les méchants très méchants.Mais à y regarder de plus près, on s'aperçoit que chaque personnage est bien plus complexe qu'il semble. Certains gentils ont par exemple tendance à suivre avec une telle rigueur, voire, une telle rigidité leurs principes qu'ils finissent par manquer d'indulgence. Mais finalement qu'importe. Ce qui compte c'est la richesse des aventures, ou plus exactement des mésaventures des partisans de la cathédrale. Ils ont bien du mérite de continuer à se battre et à y croire en dépit des catastrophes, collectives et individuelles, qui s'enchaînent. Et Ken Follett n'est pas avare d'idées tordues pour ce qui est de mettre des bâtons dans les roues de ses personnages.
Ajoutons juste qu'après avoir lu ce livre, vous n'ignorerez plus rien de la construction d'une cathédrale. L'ambiance du moyen-âge est en outre parfaitement rendue. Un bon roman, qui m'a fait passer un bon moment. Et bien que s'agissant d'un véritable pavé, il se laisse lire très facilement.

vendredi 10 février 2012

Impressions de lecture n° 1

Voilà !
Ainsi que je ne vous l'avais donc pas promis dans mon précédent billet, ceci est ma première chronique post-torpeur. Le titre n'a rien d'original mais je m'en tape à un point que vous ne pouvez même pas imaginer. C'est déjà beau que je reprenne la plume ... enfin le clavier. Faut pas me demander la lune non plus.
Alors les critiques qui vont suivre sont rangées dans un ordre tout à fait aléatoire. De là à dire qu'elles ne sont pas rangées il n'y a qu'un pas, que je franchis allègrement. Déjà que je vais devoir me souvenir de tous les livres que j'ai lus et pas chroniqués. C'est pas dans la poche, tout ça, je vous le dis.
Au fait, je ne donne plus de note. Je n'ai jamais été très convaincu de leur utilité. Mais soyez sûrs que chaque fois qu'un roman se révélera un coup de cœur, je ne manquerai pas de le signaler.
Et encore autre chose, je vais me contenter de faire 4 ou 5 critiques par chronique. Histoire de ne pas produire des pavés (trop) indigestes.

Les Rivières Pourpres - Jean-Christophe Grangé
Polar - Thriller
Ceci est le premier roman que je lis de Grangé dont je ne connaissais rien. C'est donc sans a priori que j'ai attaqué ce récit de deux enquêtes (à première vue différentes) menées par deux flics. L'un jeune, l'autre moins. Et cela, à des kilomètres de distance. Comme chacun s'en doute, les enquêtes finiront par converger, les deux flics par se rencontrer et coopérer.
Rien à dire de particulier sur le style si ce n'est que le texte se lit plutôt bien. Il y a du rythme et le double mystère assez épais pour nous donner envie d'aller jusqu'au bout. Les personnages ont assez d'épaisseur, eux aussi,  pour attirer notre attention et nous intéresser.
En revanche, l'explication finale s'avère difficile à  avaler. Sans être totalement indigeste, elle demande au lecteur un certain effort pour passer sur certaines invraisemblances.
L'avenir devait m'apprendre qu'il en est souvent ainsi avec Grangé qui flirte quasi à chacun de ses romans avec le fantastique sans toujours oser franchir le pas. J'aime le fantastique, j'aime les thrillers réalistes. J'ai un peu plus de mal avec les œuvres à mi-chemin des deux. À mi-chemin de n'importe quels genres, d'ailleurs.
En deux mots : cela se lit bien et doit s'oublier à peu près aussi vite. Et petite précision : je n'ai pas vu le film mais la lecture du roman ne m'a pas dissuadé de le faire si un jour l'occasion se présente.

Les Femmes de Stepford - Ira Levin
Science Fiction
D'Ira Levin je n'avais lu que Un Bonheur Insoutenable, une remarquable dystopie dans la lignée de 1984. Même si le roman est un cran au-dessous de son illustre modèle, il est loin, très loin d'être sans intérêt. Bref, c'est avec un plutôt bel optimisme que je démarrai la lecture de ces Femmes de Stepford.
J'y ai découvert le récit d'un jeune couple, plutôt progressiste, qui vient d'emménager dans une petite ville résidentielle. L'un comme l'autre sont féministes et ils vont très vite découvrir qu'il sont en cela différents de la plupart des autres couples dans lesquels un bon macho vit en seigneur et maître auprès de sa femme soumise et bonne maîtresse de maison. C'est du Desperate Housewives, pur et dur, l'humour en mois.
Parce que le moins qu'on puisse dire, c'est que l'ambiance va dire tourner au pesant, très pesant et va même devenir progressivement étouffante, inquiétante. Surtout lorsque le cercle, déjà restreint, des femmes libres va petit à petit diminuer encore un peu plus. Alors que se passe-t-il à Stepford ? C'est ce que va tenter de découvrir le principal personnage féminin du roman. 
Étonnamment, la quasi totalité du livre est assez pauvre en éléments fantastiques ou relevant de la science-fiction ce qui est assez déroutant pour un roman du genre. Enfin, en tout cas, jusqu'à la révélation finale, que l'on voit venir un petit peu avant, il faut bien le dire. Mais cela n'est pas gênant.
En fait, le roman prend toute sa saveur à partir de cette révélation lorsque le lecteur que nous sommes, revoit défiler en un instant tous les petits indices que l'auteur a semé le long de l'ouvrage.
Un bien sympathique petit roman, ma foi, et qui doit se laisser relire et relire encore.

Maître à Bord - Patrick O'Brian
Jack Aubrey 01
Aventure
On connait mon goût pour les aventures maritimes. Pour les corsaires, pirates et autres flibustiers. Je ne pouvais donc que plonger (humour) dans ce premier épisode des aventures du capitaine Jack Aubrey. Et pour plonger, on plonge. C'est à une véritable immersion (re-humour) dans le monde de la marine que nous invite O'Brian. À tel point que même un vieux loup de mer virtuel comme moi pouvait avoir du mal à suivre les descriptions données. Sans une solide connaissance du vocabulaire marin, on pourrait vite décroché.
Sauf que, et c'est là tout le génie de l'auteur, je trouve, nous avons pour jouer le rôle du lecteur novice en la  matière le personnage du docteur Maturin. Lorsque celui-ci embarque sur la Sophie, le premier commandement de Jack Aubrey, il ne connait strictement rien aux navires et à la navigation. C'est donc au travers des conversations qu'il aura avec l'équipage qu'il va parfaire ses connaissances et nous avec lui.
Et nous allons donc suivre les aventures du sloop la Sophie, petit navire aux performances très médiocres et de son équipage, au service de sa majesté britannique.
Compte tenu du retard accumulé dans mes chroniques, mes lectures s'éloignent inexorablement dans le temps et leur souvenir s'effiloche. Tout ce qui me reste de ce premier opus de la saga Jack Aubrey c'est une succession de combats dans les eaux méditerranéennes à l'issue parfois bonne, parfois nettement moins. Et fort heureusement, la lassitude ne nous gagne jamais tant les récits sont prenants.
J'ignore en revanche si le lecteur ne risque pas de s'ennuyer sur la longueur. J'essaierai sans doute le deuxième volet mais dans un futur plutôt éloigné.
Pour les curieux, le film Master and Commander : De l'autre côté du monde est tiré de plusieurs tomes de la série et notamment de ce premier. Et non, je n'ai pas vu le film.

Un Crocodile sur un Banc de Sable - Elizabeth Peter
Peabody 01
Policier - Historique
Amelia Peabody est une jeune archéologue amateur de la fin du 19ème siècle. À l'occasion d'un séjour en Égypte, elle fait la connaissance d'un égyptologue réputé, un rien bourru. Par hasard, elle le retrouve dans le campement qu'il a établi près de ses fouilles. Bientôt vont se produire d'étranges évènements où sont notamment impliquées des momies peu amicales.
Autant le dire d'entrée, on ne peut lire les aventures de miss Peabody sans penser aux romans d'Agatha Christie. En terme d'époque d'abord, notre héroïne étant une quasi contemporaine d'Hercule Poirot. En terme d'ambiance et de personnages ensuite. La reine du polar était passionnée par l'Egypte et elle n'aurait pas renié la galerie de gentlemen et de ladies que nous offre Elizabeth Peter. Et puis nous sommes après tout au cœur d'une enquête policière. Cela entretient la filiation.
Mais la comparaison s'arrête là. L'auteur des Peabody n'a pas tout à fait le talent de la créatrice d'Hercule Poirot. Même si on suit avec intérêt les aventures de la jeune archéologue, nous ne sommes pas passionnés au point de nous précipiter sur le tome suivant. Mais j'en lirai sans doute d'autres. Plus tard.

Sommeil prolongé


Les plus observateurs d'entre vous l'auront sans doute remarqué, je n'ai pas publié de chronique depuis fort longtemps. Depuis le (triste) 22 novembre 2011 pour être exact. Les autres auront pu être alertés par ce billet de Guillaume ... ou pas.
La faute à une terrible flemme qui m'envahit depuis des mois (bien avant novembre à vrai dire) ainsi qu'à une envie de publier des chroniques les plus abouties possible.Or, faire une (bonne) chronique, cela représente pour moi une dépense d'énergie considérable, n'étant pas doté du talent nécessaire pour les « pondre » en cinq minutes.
C'est ainsi que progressivement, sans l'avoir prémédité, j'ai fini par abandonner mon blog, ou tout comme. Le choix était simple. Ou bien publier des chroniques vite faites, sans beaucoup d'intérêt mais sans effort et juste pour dire que je publiais toujours ou bien m'obstiner à ne ne sortir que des chroniques qui convenaient à mon exigence, donc, ne plus rien sortir compte tenu de mon état d'esprit.
Reste une troisième voie. D'évidence pas la meilleure. Une espèce de compromis. Publier des chroniques regroupant plusieurs des romans que j'aurais lus et ne donnant pour chacun d'eux qu'une version condensée, concentrée de ce que j'en pense. Un peu dans l'esprit de ce que fait Acr0.
Cela ne me satisfait pas pleinement dans la mesure ou le texte consacré à chaque livre va être considérablement réduit mais si cela doit permettre à ce blog de ne pas sombrer dans l'oubli total (déjà que ...)
Je vais donc publier prochainement mon premier « rond de sorcier » (Non Acr0, rassure-toi, je ne vais pas l'appeler comme ça ;o) ). Mais il ne s'agit nullement d'une promesse. Je vais faire une tentative et voir ce que cela donne. Si l'effort fourni est comparable à celui que je fournissais jusqu'à présent, il n'est pas exclu que j'abandonne l'aventure une nouvelle fois. Et sans doute alors définitivement.
Mais ne partons pas vaincu d'avance que diable.
Haut les cœurs ! J'attaque ma nouvelle chronique.
À bientôt les amis.