Résumé :
Diamond Dogs, ou le stupéfiant périple d'une expédition aux confins d'une planète morte abritant la Flèche. Quelle est la raison d'être de ce monument-piège quasi conscient? Pourquoi ces énigmes mathématiques de plus en plus complexes, étage après étage, auxquelles sont confrontés les membres de l'expédition ? Des énigmes qui se révèlent bientôt mortelles...
Turquoise Days, ou la rencontre des Mystifs, le plus fascinant des organismes marins de la planète Turquoise. Les plongeurs qui se sont risqués à leur contact y ont laissé leur mémoire, leur empreinte au cœur de cette immense conscience collective. Naqi Okpik. y a perdu sa sœur. Parviendra-t-elle à percer le secret de ce monde lointain et protégé ?
J'ai bien peur de ne pouvoir faire mieux qu'une chronique très courte, aussi courte que les mini romans (les novellas comme disent nos amis anglo-saxons) dont il est question.
J'ai certes passé un assez bon moment avec l'un comme avec l'autre. Réellement. Peut-être un meilleur moment avec le premier, Diamond Dogs qu'avec le second, Turquoise Days.
Bon, il faut sans doute que je développe un petit peu.
Diamond Dogs est un pur roman d'aventure. Il y est question d'un groupe de personnes, toutes choisies pour leur compétence particulière partant à l'assaut d'une espèce de « tour à énigmes » qui sanctionne les mauvaises réponses par des membres arrachés, découpés, déchiquetés quand ce n'est pas par la mort, pur et simple, de préférence dans d'atroces souffrances.
Turquoise Days est davantage une oeuvre écologiste. Même si je me sens vraiment très, très concerné par les problèmes d'environnement qu'il va nous falloir résoudre dans les années qui viennent, j'avoue avoir un peu de mal avec les romans militants dans ce domaine. Ne me demandez pas pourquoi : je n'en sais rien. Toujours est-il que, chez moi, l'auteur n'a pas trouvé sa cible.
Globalement, j'oserai dire que ce recueil est très dispensable. Préférez-lui, de mon humble point de vue, les autres romans du cycle des inhibiteurs (L'espace de la révélation, La cité du gouffre...), excellents. Un peu ardus, peut-être, mais excellents.
Je serais du même avis. Bons textes avec un intérêt à porter plutôt aux romans du cycle. Ces deux textes sont plutôt pour les amateurs du cycle.
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